21 janvier 2011
Le temps qui passe
Le temps qui passe,
Le temps qui fuit,
Murmure ses romances de pluies,
Ses rumeurs houleuses de vie,
Dans les bouquets de feuilles,
généreux,
que les ondes vives du vent,
que les courants d'air du ciel
brassent dans les arbres immensément tendres,
Immensément verts;
et les pas du promeneur
un peu désemparé,
malgré tout soutenu,
par la lointaine et bleue silhouette du parc,
se raccrochent au hasard des courbes sans pentes,
lentes,
dessinées par la route,
toujours, toujours, toujours,
Mon amour.
Publicité
Publicité
Commentaires