24 janvier 2011
4 juillet 2004
Dans le matin clair et vivifiant, s'élèvent les arbres de la forêt.
Trois bouleaux marquent la lisière.
Des craquements d'herbes sèches révèlent une présence.
Un cerf se dresse là, museau tendu, bois couronnant, oreilles tendues.
Un frisson court sur sa peau.
Il va détaler d'un instant à l'autre, et ne laisser derrière lui que son odeur chaude d'animal.
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